Publié le 31 Janvier 2020

Wozzeck (Alban Berg – 1925)
Représentation du 22 janvier 2020
Metropolitan Opera de New-York

Wozzeck Peter Mattei
Marie Elza van den Heever
Le Tambour-Major Christopher Ventris
Le Docteur Christian Van Horn
Le capitaine Gerhard Siegel
Andres Andrew Staples
Margret Tamara Mumford

Direction Musicale Yannick Nézet-Séguin
Mise en scène William Kentridge (2017)

Coproduction Festival de Salzbourg, Canadian Opera Company, Opera Australia

                                               Yannick Nézet-Séguin

La nouvelle production de Wozzeck par William Kentridge, présentée au Festival de Salzbourg en 2017, est reprise au MET dans un cadre qui donne toute sa force à la monumentalité et la verticalité de sa scénographie.
On peut ainsi y lire un entrelacement entre l’histoire du soldat Wozzeck et la vie d’Alban Berg, qui connut les examens médicaux avant de participer à la première guerre mondiale.

Peter Mattei (Wozzeck)

Peter Mattei (Wozzeck)

Mais bien qu’Alban Berg n’en faisait pas le sujet premier de son futur chef-d’œuvre, la motivation principale étant l’impression laissée sur le compositeur par la pièce de Büchner, Woyzech, William Kentridge en fait le centre de sa mise en scène qui déploie un travail graphique et vidéographique qui rend une image sensitive forte des horreurs de la guerre et de ses traumatismes sur les hommes. Couleurs aux tonalités gris-vert, violences des traits et des contrastes, images de bombardements, de destructions, de visages de militaires blessés et tuméfiés, le spectateur s’imprègne totalement d’un univers inaltérable où le destin de Wozzeck est celui d’un homme écrasé par son environnement qui le détache de la réalité et le pousse à l’irréparable en assassinant celle qu’il aime.

Gerhard Siegel (Le capitaine) et Peter Mattei (Wozzeck)

Gerhard Siegel (Le capitaine) et Peter Mattei (Wozzeck)

L’expression théâtrale perd cependant en force et les rapports émotionnels entre les protagonistes paraissent négligés tant la réflexion sur l'impact psychique de la guerre passe au premier plan. De par sa personnalité, Peter Mattei rend à Wozzeck une humanité blessée, ce que la tendresse du timbre ne fait qu’intensifier.  Elza van den Heever joue une Marie critique, riant peut-être pour se protéger du drame, mais dont l’absence d’enfant sur scène (seule une marionnette est utilisée pour suggérer la manipulation des êtres) lui ote une dimension importante, l’amour maternel.

Sa voix a ainsi une indéniable présence et une grande pénétrance mais cela ne suffit pas à créer de l’empathie pour la femme du militaire.

Elza van den Heever (Marie)

Elza van den Heever (Marie)

Mais si Christopher Ventris compose un Tambour-Major enjoué, voir plus sympathique qu’il ne le devrait, c’est pourtant le capitaine de Gerhard Siegel qui est particulièrement impressif dans cette production, le véritable personnage central qui gouverne la destinée de son petit monde, auquel le chanteur apporte une crédibilité et une consistance rarement aussi marquante.

Façade du MET avec l'affiche de Wozzeck

Façade du MET avec l'affiche de Wozzeck

Il est toutefois surprenant de constater, en milieu de semaine, que ce Wozzeck ait attiré plus de public que La Bohème ou La Traviata. C’est tout à l’honneur des New-yorkais, mais peut-être est-ce aussi dû à la présence de Yannick Nézet-Séguin à la direction musicale. En effet, ce jeune chef infiniment sympathique et entièrement original fait entendre un chatoiement sonore absolument inédit, comme si son goût personnel pour la luxuriance baroque réussissait à métamorphoser la sensualité de l’écriture de Berg. L’oreille est ainsi stimulée par une magnificence de détails, des altérations de reflets, et un travail sur la texture des cordes qui s’harmonise avec les striures des peintures de scène, ce qui en fait une des lectures les plus imaginatives entendues à ce jour.

Peter Mattei, Yannick Nézet-Séguin, Elza van den Heever

Peter Mattei, Yannick Nézet-Séguin, Elza van den Heever

Yannick Nézet-Séguin est attaché au MET pour faire aimer au plus large public possible toutes les musiques de l’art lyrique, même les plus exigeantes pour les auditeurs, ce qui est une grande chance pour cette maison.

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Publié le 28 Janvier 2020

La Bohème (Giacomo Puccini - 1896)
Représentation du 21 janvier 2020

Metropolitan Opera de New-York

Mimì Maria Agresta
Musetta Susanna Phillips
Rodolfo Roberto Alagna
Marcello Artur Ruciński
Schaunard Elliot Madore
Colline Christian Van Horn
Alcindoro Donald Maxwell
Parpignol Gregory Warren
Sergente dei doganari Joseph Turi

Direction musicale Marco Armiliato
Mise en scène Franco Zeffirelli (1981)

                                                                                   Susanna Phillips (Musetta)

Avec 1343 représentations de La Bohème depuis l'ouverture du MET en 1883, et 521 représentations dans la mise en scène de Franco Zeffirelli, c'est à New-York que l'opéra le plus populaire de Puccini est le plus joué au monde et touche le plus grand nombre de spectateurs.

Maria Agresta (Mimi) et Roberto Alagna (Rodolfo)

Maria Agresta (Mimi) et Roberto Alagna (Rodolfo)

Cette production renvoie à de vieilles images de cartes postales de la vie parisienne, une mansarde dépliée sur les toits abîmés de la ville, une immense place sur plusieurs niveaux située sur l’un des flancs de Montmartre, avec ses enseignes à l’ancienne et sa foule de badauds qui se promènent lentement en se bousculant sans trop savoir ce qu’ils cherchent, une petite allée bordée d’arbres, peut-être près d’un cimetière, s’attriste sous les couches de neige, et l’effet artificiel prend le dessus sur le sentiment de réalité.

On se rend compte alors des mérites de l'ancienne scénographie de Jonathan Miller, à Bastille, qui, certes, renvoyait à un cadre un peu plus récent, mais n’en rajoutait pas autant en termes de clichés. Le deuxième acte, par exemple, pourrait encore servir à illustrer une scène de vie actuelle à Saint-Germain.

Visages d'enfants autour de Parpignol

Visages d'enfants autour de Parpignol

A New-York, le spectacle verse complaisamment dans l’outrance des jeux d’opérettes, notamment au second acte, totalement soutenue par les rires amusés de la salle, et il devient presque obligé que le personnage de Musette atteigne le paroxysme de la fantaisie.

Dans ce rôle, Susanna Phillips se livre sans retenue à un grand numéro de comédie qui plaît à nombre de cœurs aussi bien jeunes que plus âgés, une virtuosité indéniable dont le timbre un brin perçant ne nourrit cependant pas assez la rondeur et la sensualité que devrait inspirer son être libre et séducteur.

Maria Agresta (Mimi) et Roberto Alagna (Rodolfo)

Maria Agresta (Mimi) et Roberto Alagna (Rodolfo)

On aurait imaginé Roberto Alagna trop âgé pour incarner l’humanité sensible et amoureuse de Rodolfo, pourtant, que d’âme et de poésie dans son chant aux teintes brunes, superbe texture d’écorce, qui inspire le sentiment de maturité. Il en prend même une allure un peu trop sérieuse.

Il faut dire qu’il a pour partenaire Maria Agresta, magnifique interprète puccinienne qui ennoblit considérablement la jeune voisine, Mimi, et en fait une femme plus tragique que naïve, avec une sensibilité à fleur de peau à la belle voix veloutée qui donne des frissons, ponctuée parfois de petites inflexions spontanées et subitement claires, comme de légères pulsions de vie intempestives.

Maria Agresta (Mimi) et Roberto Alagna (Rodolfo)

Maria Agresta (Mimi) et Roberto Alagna (Rodolfo)

Quant à Artur Ruciński, il interprète le Marcello qu’on lui connaît bien, un tantinet dandy mais qui se lâche irrésistiblement au dernier acte en compagnie du Schaunard d’Elliot Madore, voix de baryton ferme et homogène galvanisée par la gaîté venue distraire pour un temps du déclin final de Mimi.

Artur Ruciński (Marcello)

Artur Ruciński (Marcello)

La direction de Marco Armiliato s’équilibre ainsi très bien avec le jeu de scène et les chanteurs, fait toujours raisonner soigneusement les motifs les plus charmants, préserve une constante douceur intime, mais ne soulève pas de grande emphase pour autant.

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Publié le 12 Janvier 2020

Quatuor Van Kuijk (Christian Rivet - 2019, Wolfgang Rihm - 2004, Robert Schumann - 1842)
Biennale de quatuors à cordes - Concert du 11 janvier 2020
Amphithéâtre de la Cité de la musique

Christian Rivet Quatuor n° 1 - Amahlathi amanzi
2019, création mondiale, co-commande de ProQuartet et Het Concertgebow d’Amsterdam
Wolfgang Rihm Quartettstudie
Robert Schumann Quatuor à cordes n° 3

Quatuor Van Kuijk
Nicolas Van Kuijk , violon  Sylvain Favre-Bulle, violon
Emmanuel François, alto     François Robin, violoncelle

8 ans après la 5e biennale des quatuors à cordes à laquelle participait avec un programme Rihm, Schumann et Beethoven le Quatuor Ysayë, le Quatuor Van Kuijk prend la relève de cet ensemble auprès duquel il a grandi, pour interpréter à nouveau Rihm et Schumann mais dans un esprit alternatif à Beethoven qui est à l'honneur de cette 9e biennale à la Cité de la musique.

 Sylvain Favre-Bulle, violon

Sylvain Favre-Bulle, violon

Sur la scène de ce magnifique auditorium surmonté d’un orgue au buffet de bois originalement sculpté en une forme de coupe sacrale (facture Jean-François Dupont 1994), les quatre musiciens ouvrent leur concert par le Quatuor n° 1 - Amahlathi amanzi que Christian Rivet, présent dans la salle, a créé spécialement pour eux, et qu’ils avaient pu préalablement jouer à Amsterdam au cours de l’automne dernier.

Le quatuor Van Kuijk et l'orgue de l'amphithéâtre de la Cité de la Musique

Le quatuor Van Kuijk et l'orgue de l'amphithéâtre de la Cité de la Musique

L’acoustique à la fois chaude et concentrée de l’amphithéâtre permet d’entendre la moindre vibration et sentir la rondeur de chaque trait musical, et les sonorités isolées de cette pièce inspirée par l’ambiance des forêts africaines sont comme un jeu de correspondance entre chaque instrument, et défilent sur un fond de silence comme si l’on parcourait le ciel en rencontrant telle ou telle étoile alors que, parfois, elles se regroupent en une nappe impressive et finement dentelée. L’effet méditatif est par ailleurs renforcé par l’attention totale du public.

Nicolas Van Kuijk et Sylvain Favre-Bulle, violons

Nicolas Van Kuijk et Sylvain Favre-Bulle, violons

La remontée progressive dans le temps s’arrête ensuite sur le Quartettstudie composé par Wolfgang Rihm et créé à Munich le 16 septembre 2004 par le Quatuor Ebène.

La musique s’étire en élongations d’archets quasi-cristallins entrelacés de motifs allègres ou pathétiques, décrit le sentiment nostalgique des souvenirs, change brusquement de rythme, surprend donc l’auditeur, et la fougue des musiciens surgit ainsi de l’intensité avec laquelle ils imprègnent la tension qui irrigue les mouvements qui les relient.

Quatuor Van Kuijk (Amahlathi amanzi - Wolfgang Rihm -   Robert Schumann) Cité de la musique

On retrouve dans la seconde partie du concert cette même intensité saisissante qui correspond si bien aux émotions du jeune Robert Schumann qui débutait sa vie familiale avec Clara à Liepzig en 1842.
Le jeu de regards croisés entre les quatre artistes, second violon (Sylvain Favre-Bulle) vers premier violon (Nicolas Van Kuijk), alto (Emmanuel François) vers violoncelle (François Robin) est une surveillance de tous les instants et prend même des allures ludiques, mais à d’autres moments l’intensité des émotions se charge d’une douce colère et d’une insistance qui entraîne ce 3e quatuor à cordes dans un romantisme quasi-révolutionnaire dont on ressort chargé et empli de densité.

François Robin (violoncelle), Emmanuel François (alto), Sylvain Favre-Bulle et Nicolas Van Kuijk (violons)

François Robin (violoncelle), Emmanuel François (alto), Sylvain Favre-Bulle et Nicolas Van Kuijk (violons)

Et pour finir, sous forme de bis, le quatuor nous fait redécouvrir l'adagietto de l'Arlésienne, musique de scène dédiée aux cordes d'un grand ensemble qui fut composée par Georges Bizet en 1872, dans une interprétation frémissante et inaltérée de la partition originale.

Le concert était enregistré par Radio France, on ne peut qu’espérer le réécouter ultérieurement sur France Musique.

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Publié le 1 Janvier 2020

TV-Web Janvier 2020 Lyrique et Musique

Chaînes publiques

Mercredi 01 janvier 2020 sur France 2 à 11h15
Concert du Nouvel An - Orch Philh de Vienne - dm Nelsons

Dimanche 01 janvier 2020 sur Arte à 18h40
Concert du Nouvel An à la Fenice de Venise

Lundi 02 janvier 2020 sur Arte à 00h15
Gershwin, le classique américain

Mardi 03 janvier 2020 sur Arte à 23h00
Max Raabe et le Palast Orchester - Une nuit à Berlin

Dimanche 05 janvier 2020 sur France 3 à 00h25
Carmen, Violetta, Mimi, romantiques et fatales

Dimanche 05 janvier 2020 sur Arte à 18h50
Boléro, le refrain du monde

Dimanche 05 janvier 2020 sur Arte à 22h45
Joséphine Baker - Première icône noire

Mardi 07 janvier 2020 sur France 2 à 00h05
Le couronnement du Roi Georges II (Haendel) - Chapelle du Château de Versailles

Dimanche 12 janvier 2020 sur France 3 à 00h15
La Chauve-Souris (J.Strauss) - Opéra de Marseille

Dimanche 12 janvier 2020 sur France 3 à 02h40
Carmina Burana (Orff) - Chr Brumachon

Dimanche 12 janvier 2020 sur Arte à 18h55
Le tricorne de Manuel de Falla : un festival sous l'orage

Lundi 13 janvier 2020 sur Arte à 00h25
Arturo Benedetti Michelangeli, un pianiste d'exception

Lundi 13 janvier 2020 sur Arte à 01h20
Sanerling dirige Chostakowitch

Lundi 13 janvier 2020 sur France 3 à 02h25
Der Freischütz (Weber) - Scala de Milan

Mardi 14 janvier 2020 sur France 2 à 00h05
Tannhaüser (Wagner) - dm Welber - ms Bieito - La Fenice

Stundyte, McNamara, Kinca

Jeudi 16 janvier 2020 sur France 3 à 02h00
Dalida, la femme qui rêvait d'une autre scène

Dimanche 19 janvier 2020 sur France 3 à 01h20
Der Freischütz (Weber) - Scala de Milan

Dimanche 19 janvier 2020 sur Arte à 18h00
Les grands duels de l'art - Michel-Ange vs Léonoard de Vinci

Dimanche 19 janvier 2020 sur Arte à 19h00
Fred Astaire donne le la

Lundi 20 janvier 2020 sur Arte à 00h05
Ariane à Naxos (Strauss) - dm Albrecht - ms Mitchell

Davidsen, Cutler, Devieilhe, Brower, Rendall

Mardi 21 janvier 2020 sur France 2 à 00h30
Sémiramide (Rossini) - dm Frizza - ms Ligorio

Pratt, Lervolino, Esposito, Scala

Dimanche 26 janvier 2020 sur France 3 à 00h30
Symphonies n°3 et n°6 (Tchaïkovski) - Opéra de Paris - dm Philippe Jordan

Dimanche 26 janvier 2020 sur France 3 à 02h15
Nabucco (Verdi) - Arènes de Vérone

Dimanche 26 janvier 2020 sur Arte à 18h55
Wagner, Liszt - Armstrong (piano)

Lundi 27 janvier 2020 sur France 3 à 01h30
La Chauve-Souris (J.Strauss) - Opéra de Marseille

Lundi 27 janvier 2020 sur Arte à 01h55
Arthur Schnabel, compositeur en exil

Mardi 28 janvier 2020 sur France 2 à 00h05
Le devin du village (Rousseau) - dm D'Hérin

Mutel, Dubois, Caton


Mezzo et Mezzo HD

Mercredi 01 janvier 2020 sur Mezzo à 20h30
Le Comte Ory de Rossini à l'Opéra Comique

Vendredi 03 janvier 2020 sur Mezzo HD à 21h00
La Clémence de Titus de Mozart au Festival de Salzbourg

Samedi 04 janvier 2020 sur Mezzo à 20h30
La Clémence de Titus de Mozart au Festival de Salzbourg

Dimanche 05 janvier 2020 sur Mezzo HD à 21h00
La Clémence de Titus de Mozart au Festival de Salzbourg

Mercredi 08 janvier 2020 sur Mezzo à 20h30
Il Corsaro de Giuseppe Verdi au Palau de les Arts de Valencia

Vendredi 10 janvier 2020 sur Mezzo HD à 21h00
De la maison des morts de Janacek au Bayerische Staatsoper

Samedi 11 janvier 2020 sur Mezzo à 20h30
Il Trovatore de Verdi à l'Opéra de Paris

Dimanche 12 janvier 2020 sur Mezzo HD à 21h00
Lohengrin de Wagner à La Monnaie de Bruxelles

Mercredi 15 janvier 2020 sur Mezzo à 20h30
De la maison des morts de Janacek au Bayerische Staatsoper

Vendredi 17 janvier 2020 sur Mezzo & Mezzo HD à 20h30 (direct)
Andris Nelsons et l'Orchestre Royal du Concertgebouw d'Amsterdam : Beethoven, Dean, Scriabine

Samedi 18 janvier 2020 sur Mezzo HD à 18h40
Lohengrin de Wagner à La Monnaie de Bruxelles

Samedi 18 janvier 2020 sur Mezzo à 21h40
Le Comte Ory de Rossini à l'Opéra Comique

Dimanche 19 janvier 2020 sur Mezzo HD à 21h00
Mazepa de Tchaïkovski au Mariinski de Saint-Pétersbourg

Mercredi 22 janvier 2020 sur Mezzo à 20h30
Madama Butterfly de Giacomo Puccini au Festival de Glyndebourne

Vendredi 24 janvier 2020 sur Mezzo HD à 21h35
Les Vêpres Siciliennes de Verdi au Mariinski

Samedi 25 janvier 2020 sur Mezzo à 20h30
Street Scene de Kurt Weill au Teatro Real de Madrid

Dimanche 26 janvier 2020 sur Mezzo HD à 22h35
Le Conte du Tsar Tsaltan de Rimski-Korsakov à la Monnaie de Bruxelles

Mercredi 29 janvier 2020 sur Mezzo à 20h30
Orlando Furioso de Vivaldi à Venise

Vendredi 31 janvier 2020 sur Mezzo HD à 21h00
Lohengrin de Wagner à La Monnaie de Bruxelles

Samedi 01 février 2020 sur Mezzo à 20h30
Lohengrin de Wagner à La Monnaie de Bruxelles

Dimanche 02 février 2020 sur Mezzo HD à 21h00
Les Vêpres Siciliennes de Verdi au Mariinski

Web : Opéras en accès libre (cliquez sur les titres pour les liens directs avec les vidéos)

Sur Operavision, Culturebox, ConcertArte etc...

Attention : depuis le 15 avril 2019, le site Culturebox a été renommé, et pour le trouver il faut aller sur www.France.TV, sélectionner en haut du menu "Catégorie", puis "Culture". Ensuite, se rendre aux vidéos "Opéra et Musique Classique". Les dates de fin de validité des vidéos d'opéras ne sont pas toujours correctes, et certaines vidéo toujours accessibles directement, ne sont plus visibles depuis ce nouveau site.

 

Brothers (Armel Opera Festival) jusqu'au 01 janvier 2020

Journal d'un disparu (Armel Opera Festival) jusqu'au 02 janvier 2020

Les Noces de Figaro (Armel Opera Festival) jusqu'au 03 janvier 2020

Away, no matter where (Armel Opera Festival) jusqu'au 04 janvier 2020

Don Giovanni (Armel Opera Festival) jusqu'au 05 janvier 2020

Nabucco (Arènes de Vérone) jusqu'au 05 janvier 2020

Placido Domingo aux Arènes de Vérone jusqu'au 06 janvier 2020

Il Trovatore (Teatro Real de Madrid) jusqu'au 06 janvier 2020

Ariane et Barbe Bleue (Capitole de Toulouse) jusqu'au 11 janvier 2020

La Chauve Souris (Opéra de Marseille) jusqu'au 19 janvier 2020

Les 150 ans de l'Opéra de Vienne jusqu'au 20 janvier 2020

Simone Young - Opérettes à Vienne - jusqu'au 20 janvier 2020

Les Troyens (Opéra National de Paris) jusqu'au 20 janvier 2020

La Fille de Neige (Opéra National de Paris) jusqu'au 20 janvier 2020

Les Huguenots (Opéra National de Paris) jusqu'au 21 janvier 2020

La Belle Hélène (Opéra de Lausanne) jusqu'au 27 janvier 2020

8eme symphonie de Mahler (Chorégies d'Orange) jusqu'au 27 janvier 2020

Concert du nouvel an à la Fenice jusqu'au 30 janvier 2020

 

Macbeth (Staatsoper Berlin) jusqu'au 02 février 2020

Maria de Buenos Aires (Opéra de Strasbourg) jusqu'au 14 février 2020

Les Contes d'Hoffmann (La Monnaie de Bruxelles) jusqu'au 17 février 2020

Il Sogno Di Scipione (La Fenice) jusqu'au 18 février 2020

The Importance of Being Earnest  (Nouvel opéra de Friebourg) jusqu'au 21 février 2020

Giselle (Opéra de Paris) jusqu'au 23 février 2020

 

La Bohème (NCPA, Mumbai) jusqu'au 05 mars 2020

Aida (Opéra Royal de Wallonie) jusqu'au 08 mars 2020

Beethoven : "L'Académie de 1808" - Philippe Jordan - jusqu'au 10 mars 2020

Hamlet (OPERA2DAY) jusqu'au 12 mars 2020

Esa-Pekka Salonen dirige Chostackovitch et Bruchner jusqu'au 12 mars 2020

Mam'zelle Nitouche (Opéra de Lausanne) jusqu'au 14 mars 2020

Halka (Poznan Opera) jusqu'au 19 mars 2020

Jonas Kaufmann (Mélodie Viennoises) jusqu'au 20 mai 2020

Karine Deshayes et l'ONF interprètent Ravel et Debussy jusqu'au 26 mars 2020

Sternenhoch (National Theatre Prague) jusqu'au 26 mars 2020

Jessye Norman et Kathleen Battle chantent des spirituals jusqu'au 30 mars 2020

Jenufa (National Theatre Brno) jusqu'au 01 avril 2020

L'Inondation (Opéra Comique) jusqu'au 02 avril 2020

Le Barbier de Séville (Opéra de Rouen) jusqu'au 05 avril 2020

Requiem de Mozart (Festival d'Aix en Provence 2019) jusqu'au 05 avril 2020

La fontaine de Bakhtchisaraï (Mariinsky) juqu'au 09 avril 2020

Norma (Capitole de Toulouse) jusqu'au 11 avril 2020

The Bassarids (Komische Oper Berlin) jusqu'au 12 avril 2020

Anna Bolena (Opéra Royal de Wallonie) jusqu'au 16 avril 2020

Der ferne Klang (Royal Swedish Opera) jusqu'au 18 avril 2020

Phaéton (Opéra Royal de Versailles) jusqu'au 24 avril 2020

Carmen (NPCA Beijing) jusqu'au 24 avril 2020

Don Giovanni (Opéra de Rome) jusqu'au 25 avril 2020

Le Barbier de Séville (Teatro Municipal de Santiago) jusqu'au 26 avril 2020

L'Odyssée Offenbach jusqu'au 26 avril 2020

Nikolai Subic Arinjski (Croatian National Theaterb in Zagreb) jusqu'au 01 mai 2020

La Passion selon Saint-Jean (Festival de Pâques) jusqu'au 04 mai 2020

Ermione (Teatri di San Carlo) jusqu'au 08 mai 2020

Les Carmina Burana (Radio France) jusqu'au 10 mai 2020

Les Boréades (Opéra de Dijon) jusqu'au 15 mai 2020

Cendrillon (Opéra National de Paris) jusqu'au 21 mai 2020

La Clémence de Titus (Opéra Royal de Wallonie) jusqu'au 24 mai 2020

La messe en si (Philharmonie de Paris) jusqu'au 26 mai 2020

The Bartered Bride (Garsington Opera) jusqu'au 29 mai 2020

Tosca (Polish National Opera) jusqu'au 05 juin 2020

Brothers (Icelandic Opera) jusqu'au 12 juin 2020

Parade (Théâtre du Châtelet) jusqu'au 14 juin 2020

Fidelio (Festival de Salzburg 2015) jusqu'au 14 juin 2020

Berlioz, le concert monstre (Philharmonie de Paris) jusqu'au 24 juin 2020

Requiem de Mozart, Yoann Bourgeois (La Seine musicale) jusqu'au 29 juin 2020

Turandot (Teatro Real de Madrid) jusqu'au 29 juin 2020

La Cenerentola (Irish National Opera) jusqu'au 30 juin 2020

The Rake's Progress (Festival d'Aix-en-Provence) jusqu'au 10 juillet 2020

Tosca (Festival d'Aix en Provence 2019) jusqu'au 10 juillet 2020

Musiques baroques d'Espagne et d'Italie (Festival de Grenade) jusqu'au 22 juillet 2020

"Aus Licht" de Stockhausen (Dutch National Opera) jusqu'au 31 août 2020

Peer Gynt par David Bobee (Maison des Arts de Créteil) jusqu'au 21 septembre 2020

Un soir de fête avec Roberto Alagna jusqu'au 22 septembre 2020

Madame Butterfly (Opéra Royal de Wallonie) jusqu'au 25 septembre 2020

Les Indes Galantes (Opéra National de Paris) jusqu'au 09 octobre 2020

The Indian Queen (Opéra de Lille) jusqu'au 11 octobre 2020

Turandot (Gran Teatre del Liceu de Barcelone) jusqu'au 14 octobre 2020

Richard Cœur de Lyon (Opéra Royal de Versailles) jusqu'au 17 octobre 2020

Shell Shock, a Requiem for a War (Philharmonie) jusqu'au 30 octobre 2020

Ercole Amante (Opéra Comique) jusqu'au 30 novembre2020

Laurence Equilbey dirige Thamos de Mozart (Seine Musicale) jusqu'au 13 décembre 2020

Odyssée Baroque - Les 40 ans des Arts Florissants - jusqu'au 21 décembre 2020

Les Fantômes de Versailles (John Corigliano) jusqu'au 23 décembre 2020

Barbara Hannigan dirige Bartok, Haydn, Ligeti et Kurtag (Radio France) jusqu'au 24 juillet 2021

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Rédigé par David

Publié dans #TV Lyrique