Publié le 24 Juillet 2012

Ainadamar, fuente de lagrimas (Osvaldo Golijov)
Représentation du 22 juillet 2012
Teatro Real de Madrid

Margarita Xirgu Nuria Espert

                         Jessica Rivera
Federico Garcia Lorca Kelley O’Connor
Nuria Nuria Rial
Ruiz Alonso Jesus Montota
José Tripaldi Miguel Angel Zapater

Mise en scène Peter Sellars
Direction musicale Alejo Pérez

                                                               Kelley O'Connor (Lorca) et Nuria Espert (Margarita Xirgu)

Provenant de l’Opéra de Santa Fe où elle fut créée en 2005, la production de Peter Sellars est reprise et modifiée par lui-même pour le Teatro Real de Madrid, illustrant ainsi les derniers jours de la vie du poète espagnol exécuté par les antirépublicains sous les murs de Grenade en 1936.

Toute la scénographie repose sur les expressions du visage et les gestes qui disent la beauté et la souffrance dans laquelle vécut la relation entre Lorca et l’actrice Margarita Xirgu. Comme pour Iolanta, le metteur en scène américain utilise des éclairages disposés au sol et tournés vers l’intérieur de la scène afin de mettre en valeur l’humaine profondeur de ces acteurs et chanteurs magnifiques.

Nuria Espert (Margarita Xirgu), Kelley O'Connor (Lorca) et Nuria (Nuria Rial)

Nuria Espert (Margarita Xirgu), Kelley O'Connor (Lorca) et Nuria (Nuria Rial)

L’actrice Nuria Espert - reconnue aujourd’hui comme une grande interprète de Federico Garcia Lorca - entretient un rapport d'échange à coeur ouvert avec l’audience, car elle engage chacun à conserver et partager le meilleur de son humanité même dans des circonstances aussi graves que le joug de la barbarie fasciste.

Il en résulte un climat dépressif, et la musique d’Osvaldo Golijov lui apporte une certaine légèreté vitale et hispanisante faite de rythmes des congas, ou bien de larges passages symphoniques quasi debussystes.

Les voix sont certes amplifiées, mais l’équilibre sonore est superbement entretenu, si bien qu’elles y gagnent en pureté, faisant prendre à celle de Nuria Rial des couleurs de contreténor frappantes et déroutantes à la fois.

Nuria Espert (Margarita Xirgu), Kelley O'Connor (Lorca) et Miguel Angel Zapater (José Tripaldi)

Nuria Espert (Margarita Xirgu), Kelley O'Connor (Lorca) et Miguel Angel Zapater (José Tripaldi)

L’ensemble est entouré par des toiles abstraites de l’artiste peintre Gronk, des formes complexes en teinte de terre rouge, auxquelles chacun réagit à sa manière et selon son état psychique du moment.

Face à ce spectacle fort, mais qui n’a pas totalement rempli la salle, on ne peut s’empêcher de se demander pourquoi ne voit-on pas plus de monde éprouver le besoin de découvrir ces œuvres artistiques qui alimentent un questionnement fondamental sur notre rapport aux autres?

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Publié le 10 Juillet 2012

Les Troyens (Hector Berlioz)
Représentation du 08 juillet 2012
Royal Opera House - Covent Garden

Cassandre Anna Caterina Antonacci
Chorèbe Fabio Capitanucci
Panthée Ashley Holland
Hélénus Jy Hyun Kim
Ascagne Barbara Senator
Hécube Pamela Helen Stephen
Priam Robert Lloyd
Polyxène Jenna Sloan
Andromaque Sophia McGregor
Astyanax Sebastian Wright
Enée Bryan Hymel
Fantôme d’Hector Jihoon Kim
Capitaine grec Lukas Jakobski
Didon Eva Maria Westbroek
Anna Hanna Hipp
Iopas Ji-Min Park
Narbal Brindley Sherratt
Mercure Daniel Grice
Hylas Ed Lyon
Soldats Adrian Clarke
            Jeremy White

Mise en scène David McVicar                                    Scène finale des Troyens (Colosse destructeur)
Direction musicale Antonio Pappano

Très attendue, la nouvelle production des Troyens montée par le Royal Opera House a visiblement ravi une grande partie du public impressionnée par le monumental décor de mille et une nuits et la maquette magnifiquement détaillée d’une Carthage imaginaire, la machinerie complexe du cheval de Troie, et la vitalité naïve des figurants.

L’intense et expressionniste direction musicale d’Antonio Pappano fait entendre une importante richesse de coloris, de vives pulsations et les accélérations de cadences d’un cœur battant, des accents fauves et tranchants, mais elle cède de son souffle épique aux passages qui devraient en être soulevés, comme la scène de chasse royale et d’orage, malheureusement plombée par une chorégraphie dont une image - les cerbères en tablier des forges - rappelle l’Orphée et Eurydice de Pina Bausch, et se révèle d’un non sens absolu qui tue l’accès à l’élan romantique de la musique.

On retrouve ces danseurs dans les musiques de ballets, mais faut-il à tout prix conserver ces passages musicaux s’ils sont associés à des danses anecdotiques sans le moindre intérêt artistique et sans valeur dramaturgique?

Eva-Maria Westbroek (Didon)

Eva-Maria Westbroek (Didon)

Malgré une scénographie lourde, David McVicar inscrit Les Troyens dans une vision de film d’aventure qui souffre la comparaison avec le travail si stylisé, unifié et épuré d’Herbert Wernicke à Salzbourg et Paris, ou bien plus conventionnelle, certes, mais de meilleur goût de Yannis Kokkos à Paris également.

L’engagement certain de tous les chanteurs ne compense pas non plus le dense brouillard dans lequel se noie le chant français, si l’on excepte l’articulation impeccable d’Anna Caterina Antonacci trop impliquée dans l’hystérie de Cassandre, et si loin de la Vénus drapée et tragique que l’on découvrit au Châtelet, neuf ans depuis, une vision anthologique.

Eva-Maria Westbroek domine le rôle de Didon, une endurance dont on ne doute point, mais à aborder tant de rôles différents -elle fut elle-même Cassandre à Amsterdam- ses incarnations se ressemblent toutes, plus démonstratives que profondes.

Alors, de cette importante distribution, on peut remarquer le fragile et touchant Hylas d’Ed Lyon, et saluer Bryan Hymel qui, s’il ne peut se départir d’un timbre ingrat, assure une vaillance et une volonté expansive qui en attire la sympathie de tous au dernier acte.

On serait tenté de penser que Paris a bien eu de la chance de connaître deux interprétations majeures des Troyens, au Châtelet et à Bastille, et d’y voir les deux plus convaincantes de ce début de millénaire.

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Publié le 5 Juillet 2012

Arabella (Richard Strauss)
Représentation du 30 juin 2012
Opéra Bastille

Graf Waldner Kurt Rydl
Adelaide Doris Soffel
Arabella Renée Fleming
Zdenka Genia Kühmeier
Mandryka Michael Volle
Matteo Joseph Kaiser

Mise en scène Marco Arturo Marelli (Graz 2008)
Direction musicale Philippe Jordan

 

                                                                                   Renée Fleming (Arabella) et Doris Soffel (Adelaide)

Si l’on ne devait s’en tenir qu’au texte, on trouverait le personnage d’Arabella bien ennuyeux, car le questionnement sans fin sur ses prétendants tourne à vide, jusqu’au tout dernier instant où elle évoque enfin un sentiment soudain qui la fait s’éprendre de Mandryka, riche provincial qui est surtout amoureux d’une image (le portrait). Comment ne pas plutôt croire à la réalité du poids de la condition sociale ?

Mais il y a aussi l’amour de Zdenka pour Matteo, moteur inconscient qui la fait agir dans l’espoir d'atteindre Arabella, avant qu’elle ne comprenne la réalité de ses propres sentiments pour le jeune officier, motivation la plus touchante de l’œuvre que la musique ne magnifie pourtant pas.

En réalité, la musique dit autre chose. Elle enrobe de sentiments le personnage d'Arabella, ce qui engendre une sensation d'artificialité gênante.

Renée Fleming (Arabella)

Renée Fleming (Arabella)

Alors on en oublie l'histoire et l'on prend la musique telle qu'elle est, avec par moment une magnifique évocation de méandres limpides et évanescents qui vivent et s'élèvent sous l'ample direction de Philippe Jordan. Il y a également cette souplesse de son de cuivres fondus à l'ensemble orchestral, quelques noirceurs, et un effet d'enchantement qui laisse rêveur.

Parmi les petites merveilles vocales, le duo d'Arabella et Zdenka fait entendre le superbe alliage de deux timbres, fin et cristallin pour Genia Kühmeier, agréablement charmeur pour Renée Fleming, mais la découverte est le splendide Mandryka de Michael Volle, impressionnant ours au grand cœur dénué de tout ennoblissement précieux, et d’une grande franchisse de geste.

D‘autre part, Genia Kühmeier dessine un portrait extrêmement sensible de la jeune sœur d’Arabella, avec une manière très naturelle de faire ressortir les troubles intérieurs et de le faire ressentir loin dans la salle.

A côté d’eux, Kurt Rydl et Doris Soffel paraissent bien secondaires, malgré leur carrure artistique, et Joseph Kaiser, très beau Lenski il y a quelques temps sur la même scène,  ne trouve pas en Matteo un rôle qui le valorise.

Michael Volle (Mandryka) et Renée Fleming (Arabella)

Michael Volle (Mandryka) et Renée Fleming (Arabella)

Avec son décor imposant de moulures débordant jusque sur l’avant scène, le dispositif lourd et couteux de Marco Arturo Marelli ne masque pas l’absence d’originalité de sa scénographie, mais il y a au moins un beau moment qui se révèle lors de la conclusion, quand les éclairages s’assombrissent pour accueillir Renée Fleming, inimitable dans les apparitions mystérieusement glamours, laissant un grand frisson nous parcourir sur un ralentissement du temps crépusculaire.

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Publié le 2 Juillet 2012

L'Amour des trois oranges (Sergueï Prokofiev)
Représentation du 23 juin 2012
Opéra Bastille

Le Roi de Trèfle Alain Vernhes
Le Prince Charles Workman
La Princesse Clarice Patricia Fernandez
Léandre Nicolas Cavallier
Trouffaldino Eric Huchet
Pantalon Ignor Gnidii
Tchélio Vincent Le Texier
Fata Morgana Marie-Ange Todorovitch
Linette Carol Garcia
Nicolette Alisa Kolosova
Ninette Amel Brahim-Djelloul
 La Cuisinière Hans-Peter Scheidegger
Sméraldine Lucia Cirillo
Farfarello Antoine Garcin

Direction musicale Alain Altinoglu
Mise en scène Gilbert Deflo (2005)                            Marie-Ange Todorovitch (Fata Morgana)

L'Amour des trois oranges est l'œuvre lyrique la plus accessible au très jeune public de par la série de péripéties loufoques, l'adaptation en français du livret d'origine, et l'inventivité ironique de la musique.

On se souvient encore des rires des enfants invités par Gerard Mortier à la répétition générale précédant la création de ce spectacle, ils rendaient aussi vivants le parterre et les balcons que ne l'étaient la scène et la fosse d'orchestre.
Et lorsque l’on y assiste en compagnie d’un enfant, on en adopte alors le regard rajeuni et insouciant qui rénove notre

Eric Huchet (Trouffaldino)

Eric Huchet (Trouffaldino)

De fait, la mise en scène conçue par Gilbert Deflo est sans nul doute la meilleure dont dispose l'Opéra de Paris de sa part, et pour cause, ce régisseur a tendance à se laisser guider uniquement par la musique, singulièrement stimulante par ses contrastes rythmiques et ses changements de couleurs dans cet opéra.
Sa connaissance de la Commedia dell'Arte italienne y rencontre également un univers où s'accomplir, avec numéros de cirque, déguisements multicolores, et effets pyrotechniques.

Le Prince prend ainsi un regard de Pierrot, pour lequel Charles Workman aura marqué le rôle jusqu'à aujourd'hui avec sa gestuelle légère et ample, son timbre blessé mâtiné de blanc, et quelques fissures vocales qui n'en réduisent en rien l'authenticité.

Charles Workman (Le Prince) et Amel Brahim-Djelloul (Ninette)

Charles Workman (Le Prince) et Amel Brahim-Djelloul (Ninette)

Comme tout le monde y retrouve - des spectateurs aux chanteurs - la légèreté de l‘enfance, l'ensemble de la distribution interagit avec naturel et amusement.
Elle est variée en couleurs depuis le Tchélio sonore de Vincent Le Texier - avec bien peu d'efforts d'élocution – à la toute fragile Amel Brahim-Djelloul, et se distingue un chanteur, Eric Huchet, jusqu'à présent limité à des rôles mineurs, qui aura montré sa capacité à imposer une présence physique et vocale très assurée.

Sous la direction transparente et bien équilibrée, mais un peu trop sage, d'Alain Altinoglu, l'opéra s'achève sur le grand éclat de la célèbre Marche, reprise volontairement pour voir défiler une dernière fois chanteurs et comédiens, et finir sur une note festive et énergique bienvenue.

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Publié le 1 Juillet 2012

Web : Free Opera streaming

(Lien direct sur les titres et sur les vidéos)

Les Troyens (Royal Opera House) jusqu'au ? 2012

Götterdämmerung  (En direct du Bayerische Staatsoper) le 15 juillet 2012 à 17H00.

Il Trovatore (Théâtre de la Monnaie de Bruxelles) du 07 au 27 juillet 2012

Pelléas et Mélisande (Festival de Verbier) jusqu'au ? 2012

 Ariane à Naxos (Festival de Salzbourg) jusqu'au ? 2012

Giulio Cesare (Festival de Pentecôte de Salzbourg) jusqu'au ? 2012

Nixon in China (Théâtre du Châtelet) jusqu'au 18 juillet 2012

Don Pasquale (Théâtre des Champs Elysées) jusqu’au 17 août 2012

Parsifal (Théâtre des Champs Elysées) jusqu'au 9 septembre 2012

Le Couronnement de Poppée (Opéra de Lille) jusqu'au 26 septembre 2012

La représentation de l'âme et du corps (Cité de la musique) jusqu'au 22 octobre 2012

La Finta Giardiniera (Festival d'Aix en Provence) jusqu'au 26 octobre 2012

Les Noces de Figaro (Festival d'Aix en Provence) jusqu'au 26 octobre 2012

 Written on skin (Festival d'Aix en Provence) jusqu'au 29 octobre 2012

 David et Jonathan  (Festival d'Aix en Provence) jusqu'au 02 novembre 2012

Farnace (Opéra de Strasbourg) jusqu'au 20 novembre 2012

 Carmen (Opéra de Lyon) jusqu'au 27 décembre 2012

 Phaeton   (Festival de Beaune) jusqu'au 27 janvier 2013

TV : Lyrique et Musique

Dimanche 01 juillet 2012 sur Arte à 15H05
Lully l'incommode
Avec Christina Pluhar, Philippe Jaroussky, Véronique Gens
Direction Patrick Cohën-Akenine, Orchestre: Folies françoises

Dimanche 01 juillet 2012 sur Arte à 19H00
Musique russe par l'Orchestre de Paris
Avec l'Orchestre de Paris dirigé par Kazuki Yamada, Jean-Yves Thibaudet joue le Concerto pour piano de Khatchatourian.

Lundi 02 juillet 2012 sur Arte à 00H55
Lucerne Festival
Yefim Bronfman (piano), Direction Andris Nelsons, Royal Concertgebouw Orchestra

Samedi 07 juillet 2012 sur France 3 à 23h55
Pagliacci (Leoncavallo)
Avec Alagna, MUla, Ko, Degout, Laconi.
Direction Prêtre, mise en scène Auvray

Dimanche 08 juillet 2012 sur Arte à 15H00
Joseph Haydn, un génie méconnu
Avec Leif Ove Andsnes, Thomas Quasthoff

Dimanche 08 juillet 2012 sur Arte à 19H00
Patricia Petibon chante Georg Friedlich Händel
Orchestre Venice Baroque Orchestra

Mardi 10 juillet 2012 sur France 2 à 21h40
La Bohème (Puccini) En direct d'Orange
Avec Grigolo, Mula,Beller Carbone, Tézier, Spotti, Lhote
Direction Chung, mise en scène Duffaut

Jeudi 12 juillet 2012 sur Arte à 20H35
Mozart Superstar
Avec Patricia Petibon, Benjamin Schmid

Jeudi 12 juillet 2012 sur Arte à 21H30
Les Noces de Figaro (En direct du Festival d'Aix en Provence)
Avec Paolo Szot, Malin Byström, Patricia Petibon, Kyle Ketelsen, Kate Lindsey, Anna Maria Panzarella
Direction Jérémie Rhorer, Mise en scène Richard Brunel
Orchestre Le Cercle de l'Harmonie

Samedi 14 juillet 2012 sur France 3 à 23h55
L'enlèvement au sérail (Mozart)
Avec Fournereau, Elmark, Casey, Milhofer, Vidal, Simper
Direction Bedford, mise en scène Vittoz

Dimanche 15 juillet 2012 sur Arte à 19H00
Musique pour orgue de Franz Liszt II
L'organiste Christian Schmitt interprète deux pièces de Liszt dans le cadre imposant de la Philharmonie Luxembourg.

Mardi 16 juillet 2012 sur France 2 à 00H15
La Clémence de Titus (Mozart)
Avec Kunde, Connoly, Stephany, Brahim-Djelloul.
Direction Davis, mise en scène Mc Vicar

Samedi 21 juillet 2012 sur France 3 à 23h55
Les Noces de Figaro (Mozart)
Avec Tezier, Frittoli, Syurina, Pisaroni, Deshayes, Murray, Lloyd
Direction Jordan, mise en scène Camerlo-Strehler (Opéra National de Paris 2010)

Dimanche 22 juillet 2012 sur Arte à 19H00
Mozart, Beethoven, Scarlatti
Argerich, Wang (Piano), Verbier Chamber Orchestra.

Mardi 24 juillet 2012 sur France 2 à 00H15
Tosca (Puccini)
Avec Naglestad, Alagna, Struckmann, Smilek, Trempont
Direction Franck, mise en scène Duffaut

Dimanche 29 juillet 2012 sur Arte à 14H00
Une journée à Salzbourg
Avec Abbado, Quatuor Hagen
Litaniae, Messe en Ut de Mozart
Direction Harnoncourt

Lundi 30 juillet 2012 sur Arte à 20H15
La Flûte Enchantée (En léger différé du Festival de Salzbourg)
Avec Kleiter, Richter, Fredrich, Zeppenfels, Gantner, Schwarz
Direction Harnoncourt, mise en scène Herzog

Mardi 31 juillet 2012 sur France 3 à 21h30
Turandot (Puccini) En direct d'Orange
Avec Alagna, Borsi, Spotti, Merritt, Barrad, Laconi
Direction Plasson, mise en scène Roubaud


Dimanche 05 août 2012 sur Arte à 19h00
Centenaire du Festival d'opéra de Savonlinna
Sous la direction de Jari Hämälaïnen (enregistré le 05 juillet 2012)

 

Mardi 07 août 2012 sur France 2 à 01h25
Concert des nuits de Schönbrunn
Orchestre philharmonique de Vienne sous la direction de Gustavo Dudamel

 

Samedi 11 août 2012 sur Arte à 17h00
Parsifal (Wagner) Festival de Bayreuth
Avec Roth, Randes, Youn, Fritz, Maclean, Jesatko
Direction Philippe Jordan


Dimanche 12 août 2012 sur Arte à 15h45
Soweto Strings, suivi de Open Opera : qui sera Carmen?

 

Dimanche 12 août 2012 sur Arte à 18h30
Saint-Saëns, Poulenc par Ciccolini
Angelich (Piano), Le Sinfonia Varsovia, direction Kaspszyk

 

Lundi 13 août 2012 sur France 3 à 00h30

Verdi : biographie de Raffaello Matarazzo

 

Mardi 14 août 2012 sur France 2 à 00h50
The Rake's Progress (Stravinsky)
Avec Lehtipuu, Persson, Rose, Gorton
Direction Vladimir Jurowski, mise en scène Cox

 

Mercredi 15 août 2012 sur Arte à 22h30
Arthur Rubinstein
Documentaire de Margossian

 

Jeudi 16 août 2012 sur TF1 à 01h55
Le Couronnement de Poppée (Monteverdi)
Mise en scène Robert Carsen

 

Samedi 18 août 2012 sur France 3 à 23h55
Macbeth (Verdi)
Avec Tiliakos, Urmana, Furlanetto, Secco
Direction Currentzis, mise en scène Tcherniakov

Dimanche 26 août 2012 sur Arte à 19h00
Beethoven

Orchestre de l'Age des Lumières, direction Vladimir Jurowski

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Rédigé par David

Publié dans #TV Lyrique