Publié le 23 Mai 2019

Tristan und Isolde (Richard Wagner)
Représentation du 17 mai 2019
Théâtre de la Monnaie (Bruxelles)

Tristan Bryan Register
King Marke Franz-Josef Selig
Isolde Ann Petersen
Kurwenal Andrea Foster Williams
Melot Wiard Witholt
Brangäne Nora Gubisch
Stimme eines jungen Seemanns Ed Lyon

Direction musicale Alain Altinoglu
Concept artistique Ralf Pleger & Alexander Polzin (2019)

Coproduction Teatro Communale di Bologna

                                                                                                    Bryan Register (Tristan)

Dans la continuité de sa vibrante interprétation de Lohengrin mis en scène par Olivier Py la saison dernière, Alain Altinoglu se mesure dorénavant à l'ouvrage le plus fantasmé des amoureux de la musique de Richard Wagner, Tristan und Isolde, dans une scénographie confiée à Ralf Pleger et Alexander Polzin.

Ann Petersen (Isolde)

Ann Petersen (Isolde)

Au cours de ces vingt dernières années, ces deux artistes allemands se sont principalement illustrés, pour le premier, dans la réalisation de portraits de compositeurs ou d’interprètes (Simone Young, Joyce DiDonato, Anne-Sophie Mutter), et, pour le second, dans la conception de sculptures et de décors pour des opéras et des événements musicaux.

Ainsi, lors de son passage fécond au Teatro Real de Madrid, Gerard Mortier fit régulièrement appel à Alexander Polzin pour imaginer les décors de plusieurs de ses nouvelles productions telles La Pagina en blanco, La Conquista de México, Lohengrin ou bien, peu après sa disparition, El Publico.

Leur approche du poème de Tristan et Isolde se révèle, ce soir, esthétique et fortement contemplative, et s’ils délaissent totalement l’analyse psychologique et le sens théâtral, les deux concepteurs concentrent exclusivement leur attention sur l’intemporalité de la musique en lui attachant, à chaque acte, une image de la nature qui caractérise le mieux l’infini de la vie.

Bryan Register (Tristan)

Bryan Register (Tristan)

Dans cet esprit, la première partie se déroule dans une grotte dont les stalactites se reflètent sur les miroirs du sol et de l’arrière scène, si bien que, avec un peu de hauteur, le spectateur peut admirer tout un jeu de reflets qui démultiplient non seulement les formes des structures calcaires, mais également les chanteurs, le chef d’orchestre, et même le public. Le volume de l’espace scénique s’élargit considérablement, et l’imperceptible évolution des concrétions tombant vers les sous-sols de la Terre renvoie à un irrésistible sentiment de lenteur.

Le lien avec le long voyage marin d’Irlande vers les Cornouailles n'appairait pas plus évident, mais l’on perçoit une tentative d’illustration de la difficulté de deux êtres à se rejoindre.

Ann Petersen (Isolde), Alain Altinoglu et Nora Gubisch (Brangäne)

Ann Petersen (Isolde), Alain Altinoglu et Nora Gubisch (Brangäne)

Le second acte est par la suite aggloméré autour d’un immense récif corallien blanc ouaté aux branches torturées, comme s’il s’agissait d’une forêt impénétrable où, en effet trompe-l’œil, s’animent les corps de danseurs se fondant avec le squelette de calcite. A nouveau, l’on éprouve une inévitable sensation de pétrification de la vie.

Enfin, au cours de  la dernière partie, les souffrances de Tristan s’exacerbent sur un fond d’univers où des silhouettes obscures et dorées d’étoiles et de planètes font apparaître des structures tubulaires et transparentes créées par des faisceaux lumineux, laissant à l’imagination la possibilité d’y voir des espace-temps parallèles, et donc l’espoir de croire à des passages inconnus pour voyager à travers l’univers.

La poétique de l’amour absolu et de la mort inhérent à Tristan und Isolde prend forme dans une réflexion visuelle sur la faculté de l’univers à déjouer le long écoulement du temps. A charge de l’audience d’y trouver une inspiration pour sa propre conscience, ou d’en rester à l’admiration artistique du travail de la matière et de la lumière.

L'espace temps (3eme acte)

L'espace temps (3eme acte)

En choisissant une lecture fine et évanescente, chambriste par sa faculté à laisser aux chanteurs leur plein impact vocal, Alain Altinoglu s’adapte habilement au thème désincarné du temps absolu que véhicule la scénographie, et l’orchestre symphonique de la Monnaie fait honneur à cette souplesse d’approche. Les passionnés de remous noirs et violents ne s’y retrouveront pas, les oreilles sensibles aux délicatesses bien plus. Certes, quelques sonorités de vents pourraient se dissoudre plus subtilement dans le flux sonore, et la tonicité du tissu musical gagnerait à s’affermir d’avantage, mais les miroitements et les caresses orchestrales ont leur charme qui incite constamment au rêve.

Franz-Josef Selig (King Marke) et Nora Gubisch (Brangäne)

Franz-Josef Selig (King Marke) et Nora Gubisch (Brangäne)

Et l’unité qui lie les solistes, comme s’ils représentaient une humanité un peu perdue dans un univers qui les dépasse, se ressent à chaque instant. Ann Petersen, le pivot central de la distribution, ne semble aucunement affectée par l’importance du rôle d’Isolde, et son chant teinté de pathétisme, reposant sur un médium complexe qui mêle sonorités graves et poitrinées, se libère soudainement dans un élan de vaillance d’une magnifique clarté satinée dans les aigus, clarté d’une couleur de timbre fort semblable à celle de Ricarda Merbeth qui alterne avec elle dans cette production..

Toute la scène finale d’ « Ich bin’s, ich bin’s » à la mort d’Isolde est par ailleurs interprétée avec une sensibilité et une plénitude qui emplissent le cœur de grâce.

Bryan Register (Tristan)  et Ann Petersen (Isolde)

Bryan Register (Tristan) et Ann Petersen (Isolde)

Bryan Register est une agréable découverte, un grain vocal mûr qui conserve sa riche texture quelles que soient les tensions du chant, ni Tristan joueur et idéaliste, ni Tristan profondément névrosé, il incarne une constance de sentiment en toutes circonstances. On ne ressent que dans les dernières minutes un certain essoufflement.

Nora Gubisch porte Brangäne au même niveau qu’Isolde pendant la première partie, que ce soit par son caractère ou son étoffe vocale, mais soutient moins sa dimension élégiaque lors de l’appel à la Lune, et Franz-Josef Selig, dont on connait le potentiel tragiquement expressif qu’il peut donner à Marke, est simplement maintenu dans une posture plus solennelle qui permet uniquement de profiter de la magnanimité de son chant si bien posé.

Ann Petersen (Isolde)

Ann Petersen (Isolde)

Quant à Andrea Foster-Williams, entier dans son incarnation, il rend à Kurnewal tout son volontarisme, et parait être le seul à se départir du statisme du jeu scénique, alors que le Melot de Wiard Witholt semble en revanche délaissé par la direction d’acteur.

Et la belle présence d'Ed Lyon, surlignée par la plénitude de son chant d'ébène, fait intensément passer au premier plan un marin habituellement mis en retrait.

Au sein de ce spectacle à la fois déroutant et prégnant, ce sont donc l’inédit du travail artistique sur les formes et la suavité interprétative de la direction orchestrale qui s’imposent sur le destin des êtres.

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Publié le 19 Mai 2019

Tosca (Giacomo Puccini)
Représentation du 16 mai 2019 
Opéra Bastille

Floria Tosca Anja Harteros
Mario Cavaradossi Vittorio Grigolo (16 mai)
                                Jonas Kaufmann (5 juin)
Il Barone Scarpia Željko Lučić
Cesare Angelotti Sava Vemić
Il Sagrestano Nicolas Cavallier
Spoletta Rodolphe Briand
Un prisonnier Christian Rodrigue Moungoungou 

Mise en scène Pierre Audi (2014)
Direction musicale Dan Ettinger

2 ans et demi après la première Tosca d’Anja Harteros à l’opéra Bastille sous la direction de Dan Ettinger et dans la mise en scène de Pierre Audi, une nouvelle série de représentations est jouée cette saison avec ces mêmes artistes, auxquels se joignent Vittorio Grigolo, pour la première, et Željko Lučić dans les rôles respectifs de Cavaradossi et Scarpia.

Anja Harteros (Tosca)

Anja Harteros (Tosca)

3e opéra le plus interprété au monde après La Traviata et La Bohème, œuvres de Verdi et Puccini qui évoquent toutes deux le Paris post-révolutionnaire, Tosca révèle également un lien avec la France, puisque l’intrigue se déroule à Rome peu après son détachement de la République française par les Napolitains, marquée par la bataille de Marengo qui permettra à Napoléon Bonaparte de porter un coup décisif lors de sa campagne d’Italie, et de reprendre quelques années plus tard la ville.

Et en confiant cette nouvelle première représentation de Tosca à un ténor toscan ayant vécu toute son enfance à Rome, l’Opéra de Paris ne pouvait trouver meilleur remplaçant de Jonas Kaufmann que Vittorio Grigolo, qui incarne la fougue de la jeunesse romaine avec un splendide impact vocal solaire dont, probablement, seul Roberto Alagna pourrait atteindre la même franchise de rayonnement.

Anja Harteros (Tosca) et Vittorio Grigolo (Cavaradossi)

Anja Harteros (Tosca) et Vittorio Grigolo (Cavaradossi)

Cet artiste exceptionnel se montre en fait irradiant, comme s’il cherchait à se consumer lui-même face à un public sidéré par l’animal qui se comporte comme un monstre de sentiments exubérants qu’aucun des spectateurs ne sera capable d’être dans sa vie.  En exprimant ainsi un désir aussi ardent, Vittorio Grigolo fait alors resurgir la mémoire des Cavaradossi de légende, Carlo Bergonzi et Luciano Pavarotti en tête, et atteint un summum d’intensité lorsqu’il se débat pour défendre ses idéaux de liberté universelle sous la menace des sbires du chef de la police, Scarpia.

On peut trouver cette générosité excessive, mais, dans une salle telle Bastille, cet engagement hors mesure est l’essence même de l’art vivant de l’opéra, une exaltation des plus pures et des plus extrêmes de l’extraversion des idéaux humains. Et pourtant, E Lucevan le Stelle semble sortir d’outre-tombe, enseveli sous l’accablement, coupant le souffle de l’audience qui se demande ce qui va émerger d’une telle force éruptive entièrement sous contrôle. 

Vittorio Grigolo (Cavaradossi)

Vittorio Grigolo (Cavaradossi)

Željko Lučić n’a sans doute pas la même prégnance, mais son approche, directe à sa manière, exempte de toute caricature manichéenne, habite le baron Scarpia d’une forme de cynisme désinvolte pour lequel la violence est inhérente. Son timbre sibyllin contribue au manque de netteté de caractère qu’il dessine avec aisance non sans ironie, comme s’il ne prenait pas au sérieux sa propre présence.  Ses désirs sont entièrement assumés, nimbés d’un voile fumé dans la voix qui ne diminue pourtant pas la présence sourde et venimeuse de son personnage.

Željko Lučić (Scarpia)

Željko Lučić (Scarpia)

Entourée ainsi de la plus belle expression du désir brûlant de la part de son amant et des désirs sournois de son tortionnaire, Anja Harteros offre à Bastille une Tosca passionnante de subtilité, acharnée dans la violence, et élégiaque dans ses soupirs. Son jeu scénique recherche les poses expressives, se départit des mouvements tournoyants un peu inutiles que l’on avait remarqué à l’automne 2016, et l’impulsivité ne prend jamais le dessus sur l’élégance aristocratique qui la dépeint si finement. L’incarnation est approfondie dans les moindres détails, tels ces spasmes d’excitation qui la saisissent à la découverte du sauf-conduit qui les libéreront, elle et Mario, de l’enfer romain, et sa fluidité de geste est un plaisir à suivre de chaque instant.

Anja Harteros (Tosca)

Anja Harteros (Tosca)

L’acharnement sauvage avec lequel elle achève Scarpia n’en est que plus stupéfiant. Et ses couleurs de voix, noires et anguleuses dans le médium, parcellées d’éclats enfantins dans les aigus, qui enveloppent les lignes d’un galbe vocal profilé avec grâce, définissent le mieux une inflexible personnalité au cœur discret mais vibrant de fulgurance.

Au dernier acte, elle rend avec une simplicité dénuée de tout artifice le portrait d'une femme qui mime les gestes d'un être que l'on a vu emporté par la panique et l'instinct de survie à la scène précédente.

On ne peut ainsi trouver, au rideau final, de plus fort contraste entre le comportement ému et réservé d’Anja Harteros et celui absolument cabotin de Vittorio Grigolo, cherchant et réussissant à entraîner l’enthousiasme de la salle, mais il en est ainsi de ces soirées de grand répertoire assorties d’artistes d’exception, dont l’engagement personnel dépasse les enjeux même de l’œuvre qu’ils défendent.  

Vittorio Grigolo et Anja Harteros

Vittorio Grigolo et Anja Harteros

Et tout au long de la soirée, Dan Ettinger entretient une flamme et une atmosphère obsédantes, un tissu orchestral immersif et des cordes sublimes qui allient majesté à théâtralité tonnante du début à la fin, rendant ainsi au chef-d’œuvre de Puccini une grandeur qui dépasse le simple statut de référence du répertoire auquel l’histoire a tendance à l’attacher.

Paris attend maintenant de savoir si elle aura la chance de comparer cette interprétation à celle du couple que Jonas Kaufmann et Anja Harteros forment régulièrement à Munich dans les œuvres romantiques italiennes du XIXe siècle.

Anja Harteros et Vittorio Grigolo

Anja Harteros et Vittorio Grigolo

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Publié le 11 Mai 2019

Circonstances de l’éclipse totale de soleil du 02 juillet 2019 au Chili et en Argentine

Après l’éclipse annulaire du 26 février 2017 (voir le lien Eclipse annulaire de soleil du 26 février 2017 en Patagonie Argentinequi avait traversé les régions préhistoriques et peu peuplées de la Patagonie, le Chili et l’Argentine seront à nouveau le théâtre d’une spectaculaire éclipse de Soleil au couchant, le mardi 02 juillet 2019.

Trajectoire de l'éclipse totale de Soleil du 02 juillet 2019 - (c) www.greatamericaneclipse.com

Trajectoire de l'éclipse totale de Soleil du 02 juillet 2019 - (c) www.greatamericaneclipse.com

Au Chili, l’éclipse traversera toute la partie nord de la région de Coquimbo ainsi que l’extrême sud de l’Atacama, et, en Argentine, la région de San Juan sera aux premières loges, alors que La Rioja, San Luis, Cordoba, et la province de Buenos Aires, assisteront à un coucher de Soleil se noyant à l’horizon derrière la Lune.

La Cordillère des Andes sera donc un cadre magnifique pour assister à cet événement solaire, à une centaine de kilomètres au nord d’Uspallata, là où le film de Jean-Jacques Annaud, ‘Sept ans au Tibet’, fut en partie tourné.

Tracé de l'éclipse totale de Soleil du 02 juillet 2019 au Chili et en Argentine - (c) Xavier Jubier - xjubier.free.fr

Tracé de l'éclipse totale de Soleil du 02 juillet 2019 au Chili et en Argentine - (c) Xavier Jubier - xjubier.free.fr

L’éclipse sera ainsi totale du fait de la relative proximité de la Lune à la Terre à ce moment précis (368 310 km de distance), ce qui rendra son diamètre apparent plus grand que celui du Soleil.

La durée de l’éclipse variera de 2mn 30s, à 30 km au Nord de La Serena, à 2 mn 05s à 60 km, au sud-ouest de Buenos Aires.

L'éclipse totale de Soleil du 02 juillet 2019 à Bella Vista (San Juan) - (c) Xavier Jubier - xjubier.free.fr

L'éclipse totale de Soleil du 02 juillet 2019 à Bella Vista (San Juan) - (c) Xavier Jubier - xjubier.free.fr

Au creux de la Cordillère des Andes, depuis le petit village de Bella Vista situé à 1945 m d’altitude, sous les températures d’hiver, le déroulement de l’éclipse comprendra quatre jalons importants :

1.    A 16h25mn32s, heure locale, la Lune commencera à recouvrir le bord solaire, à 24° au-dessus de l’horizon Nord-Ouest.

2.    Une heure et quart plus tard, à 17h39mn32s, à 12° au-dessus de l’horizon, la Lune recouvrira entièrement le Soleil sous une spectaculaire couronne magnétique, laissant apparaître Vénus à l’horizon, et Mars et Mercure à une quinzaine de degrés au-dessus du Soleil, sur sa droite. La vitesse de l’ombre au sol (550 km de longueur) dépassera 12000 km/h. 

3.    Deux minutes et 27 secondes plus tard, à 17h42mn0s, la Lune commencera à se dégager de la surface solaire et le jour crépusculaire reviendra.

4.    Enfin, à 18h45mn, le Soleil se couchera au même moment que la Lune aura cessé de l’occulter.

La largeur du tracé de l’ombre, au sol, aura atteint en ce point 143 km.

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Rédigé par David

Publié dans #Astres, #Eclipse

Publié le 1 Mai 2019

TV-Web Mai 2019 - Lyrique et Musique

Le programme qui suit sera complété après le 06 mai 2019.

Chaînes publiques

Dimanche 05 mai 2019 sur France 3 à 00h05
Viva la mamma (Donizetti) - Opéra de Lyon - ms Pelly - dm Viotti

Dimanche 05 mai 2019 sur Arte à 18h30
Symphonie n°3 (Mendelssohn) - dm Nelsons

Vendredi 10 mai 2019 sur France 2 à 00h05
King Arthur (Purcell) - ms Bechtolf - dm Jacobs

Dimanche 12 mai 2019 sur Arte à 18h30
L'Alhambra en musique

Dimanche 12 mai 2019 sur Arte à 23h45
Les Aventures de l'Histoire du soldat

Vendredi 17 mai 2019 sur France 2 à 00h05
La Damnation de Faust (Berlioz) - Opéra Royal de Wallonie - ms Raimondi - dm Davin

Dimanche 19 mai 2019 sur Arte à 18h30
Le Cinéma d'Alexandre Desplat

Dimanche 19 mai 2019 sur France 3 à 00h05
Luciano Pavarotti, le concert des étoiles - dm Cassar

Behr, Borras, Calleja, Laconi, Peretyatko, Matshikiza

Lundi 20 mai 2019 sur Arte à 00h55
De la berceuse au chant de guerre, pourquoi la musique existe-t-elle?

Vendredi 24 mai 2019 sur France 2 à 00h05
Charpentier, Du Mont, Lully - Ensemble Correspondance - dm Daucé

Mezzo et Mezzo HD

Jeudi 02 mai 2019 sur Mezzo et Mezzo HD à 20h00 (direct)
Falstaff de Verdi au Teatro Real de Madrid

Vendredi 03 mai 2019 sur Mezzo HD à 21h00
Madama Butterfly de Giacomo Puccini au Festival de Glyndebourne

Samedi 04 mai 2019 sur Mezzo à 20h30
René Jacobs dirige King Arthur de Purcell au Staatsoper Berlin

Dimanche 05 mai 2019 sur Mezzo HD à 21h00
Norma de Bellini au Royal Opera House

Mercredi 08 mai 2019 sur Mezzo à 20h30
L'Orfeo de Luigi Rossi dirigé par Raphaël Pichon

Vendredi 10 mai 2019 sur Mezzo HD à 21h00
Madama Butterfly de Puccini au Royal Opera House

Samedi 11 mai 2019 sur Mezzo à 20h30
Rodelinda de Haendel à l'Opéra de Lille

Dimanche 12 mai 2019 sur Mezzo HD à 21h00
Un bal masqué de Verdi au Liceu de Barcelone

Mercredi 15 mai 2019 sur Mezzo à 20h30
William Christie dirige Didon et Enée de Purcell à l'Opéra Comique

Vendredi 17 mai 2019 sur Mezzo HD à 21h00
La Bohème de Puccini au Liceu de Barcelone

Samedi 18 mai 2019 sur Mezzo à 20h30
William Christie dirige Atys de Lully à l'Opéra Comique

Dimanche 19 mai 2019 sur Mezzo HD à 21h00
Madama Butterfly de Puccini au Royal Opera House

Mercredi 22 mai 2019 sur Mezzo à 20h30
William Christie dirige Hercules de Haendel à l'Opéra national de Paris

Vendredi 24 mai 2019 sur Mezzo HD à 21h00
Norma de Bellini au Royal Opera Hous

Samedi 25 mai 2019 sur Mezzo à 20h30
William Christie dirige Armide de Lully au Théâtre des Champs-Elysées

Dimanche 26 mai 2019 sur Mezzo HD à 21h00
Anna Bolena de Donizetti à l'Opéra Royal de Wallonie-Liège

Mercredi 29 mai 2019 sur Mezzo à 20h30
William Christie dirige La Didone de Francesco Cavalli au Théâtre de Caen

Vendredi 31 mai 2019 sur Mezzo HD à 21h00
A compléter ultérieurement

Web : Opéras en accès libre (cliquez sur les titres pour les liens directs avec les vidéos)

Sur Operavision, Culturebox, ConcertArte etc...

 

Cosi fan Tutte (Opéra de Lausanne) jusqu'au 01 mai 2019

Ero the Joker (Croatian National Theatre in Zagreb) jusqu'au 05 mai 2019

Hommage à Jérôme Robbins (Opéra de Paris) jusqu'au 09 mai 2019

Hippolyte et Aricie (Staatsoper de Berlin) jusqu'au 15 mai 2019

Cunning Little Vixen (National Theatre Brno) jusqu'au 17 mai 2019

Norma (Teatro de la Fenice) jusqu'au 22 mai 2019 (Culturebox)

Thamos (Festival de Salzbourg) jusqu'au 27 mai 2019

Team Mead à la Sainte-Chapelle jusqu'au 27 mai 2019

Juditha Triumphans (Dutch National Opera & Ballet) jusqu'au 30 mai 2019

 

Macbeth (Teatro de la Fenice) jusqu'au 06 juin 2019

Caligula (Opéra avec l'Arcal et le Poème de l'Harmonie) jusqu'au 11 juin 2019

Tosca (Opéra de Rome) jusqu'au 12 juin 2019

Macbeth (Opéra Royal de Wallonie) jusqu'au 14 juin 2019

Simon Boccanegra (Opéra de Paris) jusqu'au 15 juin 2019

Le concert des étoiles - Hommage à Mozart jusqu'au 15 juin 2019

Katia Kabanova (Teatro San Carlo) jusqu'au 19 juin 2019

Lessons in love and violence (Royal Opera House, Londres) jusqu'au 21 juin 2019

Musique en fête aux Chorégies d'Orange jusqu'au 21 juin 2019

Debussy / Saint-Saëns / Franck (Festival de Grenade) jusqu'au 25 juin 2019

Maria Callas, une vie d'Opéra jusqu'au 27 juin 2019

 

Le Roi Arthur (Vox Luminis) jusqu'au 04 juillet 2019

Ariane à Naxos (Festival d'Aix en Provence) jusqu'au 10 juillet 2019

Manru (Polish National Opera) jusqu'au 18 juillet 2019

La Bohème (Komische Oper Berlin) jusqu'au 26 juillet 2019

Xerxès (Deutsche Oper Am Rhein) jusqu'au 31 juillet 2019

La Damnation de Faust (Opéra de Versailles) jusqu'au 01 août 2019

Le concert des révélations des Victoires de la Musique jusqu'au 02 août 2019

Billy Budd (Den Norske Opera & Ballett) jusqu'au 07 août 2019

Les Vêpres de Monteverdi jusqu'au 10 août 2019

La Gioconda (La Monnaie) jusqu'au 11 août 2019

L'incantesimo (Opéra National de Lettonie) jusqu'au 20 août 2019

Pagliacci (Opéra de Riga) jusqu'au 20 août 2019

Le Lac des Cygnes (Opéra National de Paris) jusqu'au 22 août 2019

Ice (Finnish National Opera & Ballet) jusqu'au 04 septembre 2019

Trois Contes (Opéra de Lille) jusqu'au 13 septembre 2019

Frankenstein (Théâtre de La Monnaie) jusqu'au 14 septembre 2019

Il Trionfo del Tempo (Festival d'Ambronay) jusqu'au 19 septembre 2019

Werther (Bergen National Opera) jusqu'au 21 septembre 2019

Il Trovatore (Opéra Royal de Wallonie) jusqu'au 22 septembre 2019

Falstaff (Garsington Opera) juqu'au 25 septembre 2019

La Juive (Opera Vlaanderen) jusqu'au 05 octobre

Nuit Erik Satie (Philharmonie de Paris) jusqu'au 07 octobre 2019

Orfeoe Euridice (Irish National Opera) jusqu'au 11 octobre 2019

Rodelinda (Opéra de Lille) jusqu'au 12 octobre 2019

Madrigaux de Dowland, Wert, Monteverdi (Ambronay 2018) jusqu'au 23 octobre 2019

La Khovantchina (Theatre Stanislavsky)  jusqu'au 25 octobre 2019

Il bravo (Festival de Wexford) jusqu'au 26 octobre 2019

Sémiramide (Opéra La Fenice) jusqu'au 30 octobre 2019

Oprhée et Eurydice (Théâtre des Champs-Elysées) jusqu'au 02 novembre 2019

Antropocène (Scottish Opera) jusqu'au 16 novembre 2019

La Traviata (Icelandic Opera) jusqu'au 23 novembre 2019

Macbeth (La Fenice) jusqu'au 04 décembre 2019

 

Ariane et Barbe Bleue (Capitole de Toulouse) jusqu'au 14 janvier 2020

Il Sogno Di Scipione (La Fenice) jusqu'au 18 février 2020

Aida (Opéra Royal de Wallonie) jusqu'au 09 mars 2020

Karine Deshayes et l'ONF interprètent Ravel et Debussy jusqu'au 26 mars 2020

La Passion selon Saint-Jean (Festival de Pâques) jusqu'au 03 mai 2020

La Clémence de Titus (Opéra Royal de Wallonie) jusqu'au 20 mai 2020

The Rake's Progress (Festival d'Aix-en-Provence) jusqu'au 10 juillet 2020

Laurence Equilbey dirige Thamos de Mozart (Seine Musicale) jusqu'au 13 décembre 2020

Barbara Hannigan dirige Bartok, Haydn, Ligeti et Kurtag (Radio France) jusqu'au 24 juillet 2021

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Rédigé par David

Publié dans #TV Lyrique